Burkina Faso : La Présidence honore les médias engagés au service de la Nation

Sous l’impulsion du Président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré, la Présidence burkinabè a décerné cinq Prix spéciaux destinés à récompenser les meilleures productions journalistiques du pays. Ces distinctions couvrent désormais cinq catégories : radiodiffusion télévisuelle, radiodiffusion sonore, presse écrite, presse en ligne et presse en langues nationales. Chacun des lauréats reçoit un trophée, une attestation et une récompense financière d’un million de FCFA, dans un geste fort de reconnaissance de l’engagement patriotique des médias.
Institués en 2024 avec quatre prix, ces distinctions ont été étendues à cinq en 2025 pour refléter la diversité et la richesse des contributions médiatiques à l’édification nationale. Le Capitaine Ibrahim Traoré, fidèle à sa vision d’un Burkina Faso souverain, résilient et enraciné dans ses valeurs, a instruit l’élargissement de ces prix afin qu’ils intègrent désormais les initiatives présidentielles, lancées dans des secteurs clés comme la sécurité, l’agriculture, l’énergie ou encore l’aménagement du territoire.
Ces prix ne sont pas seulement des récompenses symboliques. Ils traduisent une volonté politique claire : reconnaître et encourager les journalistes qui soutiennent, par leur plume, leur micro ou leur caméra, les efforts de reconquête du territoire et de refondation nationale. Dans un contexte de guerre contre le terrorisme et de réformes ambitieuses, la presse joue un rôle crucial en informant, mobilisant et conscientisant les citoyens.
Le choix d’inclure un prix en langues nationales témoigne aussi d’un tournant stratégique dans la communication gouvernementale. Il s’agit de parler directement au peuple, dans ses langues, avec ses repères, et de valoriser la richesse culturelle du Burkina Faso. C’est une manière d’impliquer chaque Burkinabè dans la dynamique de transformation en cours, quel que soit son niveau d’instruction ou sa situation géographique.
Les journalistes récompensés sont désormais les ambassadeurs d’une nouvelle manière de faire du journalisme au service de la Nation. Une presse libre, oui, mais aussi une presse consciente, impliquée et solidaire du peuple burkinabè dans ses luttes et ses espoirs.