Burkina Faso : Le Capitaine Ibrahim TRAORÉ et la gouvernance par l’exemple et la transparence
Ce lundi matin, le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, a reçu des mains du Contrôleur Général d’État, Lassané COMPAORÉ, le rapport d’activités 2023 de l’Autorité Supérieure de Contrôle d’État et de Lutte contre la Corruption (ASCE-LC). Ce rapport annuel, structuré en trois tomes, marque un jalon essentiel dans l’effort de moralisation de la vie publique, voulu et incarné par le Chef de l’État burkinabè.
Dans un contexte où la corruption a longtemps été un cancer rongeant l’efficacité de l’administration, le Capitaine Ibrahim Traoré a fait du rétablissement de la probité un pilier central de sa gouvernance. Le premier tome du rapport revient sur les moyens matériels, humains et financiers mobilisés pour outiller l’ASCE-LC dans ses missions. Une dotation que le Président n’a cessé d’augmenter, en cohérence avec sa volonté de bâtir un État rigoureux, juste et redevable.
Les deux autres tomes du rapport apportent un éclairage précis sur les missions fondamentales de l’ASCE-LC, à savoir les audits, les contrôles, les investigations, mais aussi le suivi des recommandations émises et des actions judiciaires engagées. Il s’agit d’un travail technique mais crucial qui permet de remonter les circuits d’enrichissement illicite, de sanctionner les fautes graves et de prévenir les pratiques de détournement. Et dans ce domaine, le message est clair : aucune impunité ne sera tolérée.
Avec cette démarche, le Capitaine Ibrahim Traoré démontre qu’il n’y a pas de souveraineté sans une gouvernance intérieure exemplaire. La lutte contre la corruption ne saurait se limiter à des discours ou à des slogans creux. Elle se traduit par des actes concrets, visibles, méthodiques. À l’heure où des puissances étrangères multiplient les tentatives de déstabilisation en s’appuyant sur des relais locaux corrompus, le renforcement des organes de contrôle devient un acte de défense nationale.
